Quand la nouvelle génération d’artistes anglais de l’electronique rencontre « papy » Nile Rodgers, le résultat est un incroyable titre plein de « groove », parfait pour les clubs des années 2010.
Cette génération nourrie de funk et de soul semble bien avoir écouté Prince. Un funk authentique avec les technologies d’aujourd’hui.
Même si son premier titre, très soul, est sorti en 2013, Sam Smith a déjà un beau parcours derrière lui. Il avait attiré l’attention en assurant les voix sur le titre « Latch » de « Disclosure » en 2012. A l’adolescence, il écoute Stevie Wonder, Aretha Franklin et Chaka Khan, entre autres. En plus de son travail avec « Disclosure », il a travaillé pour Adele, pour Naughty Boy et pour Emeli Sande, de gros succès de ces dernières années en Angleterre et en Europe.
Disclosure, c’est Guy et Howard Lawrence. Leur début sur « myspace » en 2010 est vite suivi par de nombreux fans et abouti à la sortie de deux titres, « Offline Dexterity » et « Street Light Chronicle ». En 2011, ils assurent des remixes pour Jess Mills et Emeli Sande. Ils explosent en 2012 lorsque leur son devient le plus populaire d’Angleterre, vite immité par d’autres. En 2013, leur collaboration avec Aluna George ainsi que leur contribution à l’album de Eliza Doolittle ont donné lieu à de beaux succès pour ces chanteuses. Ils ont une méthode, un son funk-electro très original et terriblement efficace pour les clubs et radios.
Tout ce beau monde a donc retrouvé la légende funk, le pape des riffs de guitare assassin : Nile Rodgers. Et le résultat est vraiment « chic » et impressionnant !
Together